Il y a plusieurs sortes de jeu de tarot. L’un d’entre eux est l’oracle Belline. L’oracle s’est inspiré du Grand Eteilla, du tarot de Marseille. Il a été créé par Edmond Billaudeau, un célèbre voyant du XIXe siècle. Ce dernier qui a intitulé le jeu divinatoire en oracle de Belline publié depuis 1961, un jeu de 53 cartes.
L’histoire de la carte qui porte le nom de son sauveur
L’oracle Belline porte le nom de son sauveur. Le fameux mage de son vrai nom Edmond Billaudeau a dessiné l’oracle à l’aide du tarot de Marseille, du Grand Eteilla, de la Kabale ainsi que des positions chevaleresques et des références astrologiques pour donner vie à un jeu idéal. Les cartes se composent de sept astres : le soleil, la lune, et 5 planètes comme mercure, vénus, mars, jupiter, et saturne. Et de 3 autres qui n’ont pas de référence nommée la carte bleue, la destinée et l’étoile de la femme et l’étoile de l’homme. L’emploi du jeu a été créé par Marcel Belline avec l’essai d’une chiromancie. Et le jeu divinatoire commença après qu’il a sauvé la vie d’une malade.
Le tirage de carte par Belline
Dans la boîte contenant le jeu de cartes se trouve un livret explicite qui montre la manière de la jouer. Le tirage classique est composé de 5 cartes dont 4 disposées en haut et 1 carte se met au-dessous et au centre. La première à gauche de la voyante représente l’affirmation. La deuxième qui est maintenant à droite par contre montre la négation c’est-à-dire ce qu’il faut éviter. La troisième qui est devant, mais plutôt plus loin du devin signifie le chemin que le consultant doit suivre. La quatrième carte devant plus près que cette dernière est la solution finale c’est-à-dire le résultat définitif. La cinquième au milieu est le but de la consultation.
Les méthodes de Belline
Marcel Belline a créé trois types de tirages. La première se nomme Méthode de Belline ; elle consiste à demander au consultant le numéro de la carte qu’il veut retourner, ainsi de suite jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de cartes. L’interprétation se fait alors de droite à gauche. La deuxième est la méthode des prénoms : le consultant prend des cartes comme le nombre de lettres dans son prénom ou celui à qui il s’intéresse. La dernière est la méthode du nombre cosmique qui consiste à retourner et à interpréter les cartes une par une de gauche à droite.